La désinformation concernant la COVID-19 est abondante. On veut nous fait croire que la COVID-19 est dangereuse, que les vaccins sont efficaces et que la seule solution pour enrayer la pandémie est de vacciner la population mondiale. Mais qu’en est-il réellement ?
Il était une fois un virus appelé COVID-19 qui se répandit autour du monde en effrayant les foules afin d’aplanir un chemin pour le vaccin, qui viendra en sauveur de l’humanité. Une nouvelle religion est née. En voici les dogmes:
- COVID-19 est une grosse brute;
- Les rejetons de COVID-19, les variants, sont encore plus forts que COVID-19;
- De nouveaux variants apparaitront constamment tant que le monde ne sera pas sauvé;
- L’homme et son système immunitaire n’est pas assez fort pour combattre COVID-19 et les variants;
- Le vaccin est son sauveur et il viendra régner en maître à la fin des temps.
Ce dogme populaire a engendré des doctrines :
- À cause des non-vaccinés, la tyrannie de COVID-19 et de ses variants ne fera que perdurer;
- À cause des non-vaccinés, les gouvernements devront imposer de nouveaux confinements;
- À cause des non-vaccinés, des populations entières perdront leurs libertés;
- Le vaccin est le chemin, la vérité et la vie. Nul ne se débarrassera de COVID-19 et de ses variants que par lui;
- S’il n’accepte pas le vaccin comme son sauveur, l’homme ne pourra prendre part aux privilèges des vaccinés.
De ces doctrines, des traditions ont émergé :
- L’homme acceptera le vaccin pour ne plus contaminer;
- L’homme acceptera le vaccin pour ne plus voir apparaitre de nouveaux variants;
- L’homme acceptera le vaccin pour ne plus tomber malade;
- L’homme acceptera le vaccin pour être libre et avoir des privilèges;
- L’homme acceptera le vaccin pour vivre éternellement, et peut-être même jusqu’à 100 ans.
Selon le Larousse, un dogme est un « point fondamental et considéré comme incontestable » ou encore, une « opinion donnée comme certaine, intangible et imposée comme vérité indiscutable ». Si les dogmes d’une croyance sont faux, alors ses doctrines et traditions ne font pas de sens.
Par ce texte, en ce 6 août 2021, je vise à défaire les dogmes de la secte COVID, afin d’offrir une nouvelle perspective sur la situation sanitaire. En trois grands chapitres, j’utiliserai les statistiques pour démontrer les points suivants :
- La COVID et ses variants sont moins dangereux qu’on veut nous le faire croire;
- Les vaccins ne sont pas aussi efficaces qu’on veut nous le faire croire;
- Il est fortement probable que les vaccins sont les véritables créateurs et propagateurs de variants.
Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, je tiens à dire que je ne suis ni journaliste des grands médias, ni expert scientifique anonyme du gouvernement et je ne possède aucun lien ou intérêt financier dans le milieu pharmaceutique. Je suis donc totalement qualifié pour aborder le sujet d’une manière neutre et objective.
Pour avoir un arrière-plan de recherche scientifique universitaire, je sais que la science ne répond pas à tout. D’ailleurs, le consensus n’est pas un concept applicable dans le domaine de la science. Des opinions contraires peuvent coexister et le débat scientifique doit être encouragé si on souhaite que la science avance. Ceux qui disent « Je fais totalement confiance en la science » sont des insensés, surtout quand il est question d’un vaccin qui est encore expérimental et n’ayant pas encore reçu d’approbation de sécurité par les autorités compétentes.
Je crois qu’une théorie en soi peut être bien belle mais si des chiffres statistiques ne la contre-valide pas, alors elle ne vaut rien. Donc ce n’est pas parce qu’un ministre de la santé, un immunologiste de seconde zone, un expert « scientifique » anonyme de Radio Canada et Bill Gates s’accordent sur une théorie que cette dernière est vraie. C’est pourquoi je tiens à utiliser les statistiques pour mettre la vérité au clair.
La COVID est-elle réellement dangereuse?
On nous assène depuis des mois que la COVID-19 est dangereuse, que ses variants sont encore plus contagieux, plus virulents, qu’ils s’attaquent aux personnes de plus en plus jeunes, et qu’ils sont donc bien plus dangereux que le virus original. Si ces affirmations sont vraies, il faudrait pouvoir constater les faits suivants :
- D’une vague de cas à l’autre, le pourcentage de positivité des dépistages devrait augmenter;
- D’une vague de cas à l’autre, les pics d’hospitalisations devrait augmenter;
- D’une vague de cas à l’autre, les pics de décès devrait augmenter;
- D’une vague de cas à l’autre, le taux de reproduction du virus devrait augmenter;
- Les décès attribués à la COVID ne devraient pas affecter principalement les personnes âgées;
- Les décès attribués à la COVID ne devraient pas affecter principalement les personnes possédant des conditions médicales préexistantes;
- D’une vague de cas à l’autre, les admissions aux soins intensifs devraient affecter des individus de plus en plus jeunes;
- D’une vague de cas à l’autre, l’excédent de mortalité (ou surmortalité) devrait augmenter;
- Les mêmes constats devraient généralement s’appliquer au Québec, comme partout ailleurs dans le monde.
Si tous ces choses sont observées par les données statistiques officielles, alors oui, on pourrait prétendre que la COVID et ses variants sont dangereux.
Mais est-ce réellement le cas ? C’est ce que nous allons vérifier.
Couverture vaccinale
Au Québec, c’est l’INSPQ qui nous éclaire sur le sujet. Mais avant de vous abreuver de courbes de statistiques, j’attire votre attention sur la couverture vaccinale au Québec.
Bien que le Québec ait commencé à vacciner le 14 décembre 2020, les stocks de vaccins se sont faits désirer pendant plusieurs semaines et la campagne de vaccination a démarré très timidement. Cette dernière ne s’est réellement accélérée qu’au mois de mars et le palier de 10% de couverture vaccinale n’a été atteint que le 14 mars 2021.
Cette première information est importante car il faut éviter d’attribuer au « succès » de la vaccination, les points que je vais vous présenter.
Évolution du pourcentage de positivité des dépistages
Pour mesurer le taux de contagion d’un virus, on ne peut utiliser comme critère les cas confirmés, car cette dernière mesure est influencée par le taux de dépistage. En effet, une augmentation des dépistages cause souvent une augmentation des cas. Si les dépistages étaient constants dans le temps, alors l’évolution des cas serait un bon indicateur de la contagiosité, mais ce n’est malheureusement jamais le cas.
Pour cette raison, nous utiliserons le pourcentage de positivité des tests de COVID. Au Québec, on voit bien que d’une vague à l’autre, le taux de positivité des tests diminue. Durant la seconde vague, le pic de cette mesure a été atteint le 27 décembre 2020. À cette date, au Québec, seul 0.3% de la population de plus de 12 ans était vaccinée. Cette diminution ne peut donc pas être attribuable à la vaccination.
De plus, le variant Alpha, qui compte pour la majorité des cas positifs depuis la semaine du 21 mars, ne semble pas affecter le taux de positivité. On ne peut donc pas affirmer que le variant Alpha est plus contagieux.
Évolution des hospitalisations
L’évolution du nombre d’hospitalisations liées à la COVID permet de mesurer le taux de dangerosité du virus. Comme pour le taux de positivité des cas, on observe bien que d’une vague à l’autre, le nombre d’hospitalisations diminue. Durant la seconde vague, le pic de cette mesure a été atteint le 13 janvier 2021. Encore une fois, on peut difficilement attribuer cette diminution à la vaccination puisqu’à cette date, seulement 1.6% de la population de plus de 12 ans était vaccinée.
Le variant Alpha ne semble pas non plus affecter la dangerosité du virus.
Évolution des décès
La létalité du virus peut être mesurée par le nombre de décès. Encore une fois, d’une vague à l’autre, les décès ont eu tendance à diminuer. Durant la seconde vague, le pic de décès a été atteint le 13 janvier 2021. La diminution des décès ne peut donc absolument pas être attribuée à la vaccination.
Le variant Alpha, ne semble pas non plus affecter la létalité du virus. Au contraire, on peut même affirmer que le variant Alpha est presque inoffensif, si on se fie au nombre de morts depuis mars 2021.
Taux de reproduction du virus
Un meilleur indicateur que le taux de positivité pour déterminer la contagion d’un virus est son taux de reproduction. Le fait que cette mesure soit relativement stable depuis le début de la pandémie indique que le variant Alpha n’est pas plus contagieux que le virus original.
Répartition des décès par tranche d’âge
En analysant les décès par tranche d’âge, on peut déterminer les populations à risque de mourir de la COVID.
L’INSPQ indique que la moyenne d’âge des personnes décédées est de 84.2 ans, avec 97.4% des décédés qui ont plus de 60 ans, et 90.9% qui ont plus de 70 ans.
Par ailleurs, les moins que 40 ans comptent pour seulement 0.25% (28/11184) des morts de la COVID. La vaccination des moins de 40 ans semble donc être une aberration si l’on se fie seulement à ce chiffre.
Conditions médicales préexistantes – comorbidités
La vaccination de toute une population semble encore plus illogique quand on sait que parmi tous les décès, seulement 3.1% n’avaient aucune comorbidité, 6.8% avaient une comorbidité et 90.1% avaient deux comorbidités.
Les décès liés à la COVID étaient donc (à très très très grande proportion) des personnes déjà vulnérables. Les autres (la très très très grande proportion de la population) ont un système immunitaire qui les protège de la mort.
Je le sais bien, on me dira que les jeunes pourraient avoir des séquelles de la COVID avec ses formes longues. C’est pourquoi nous allons nous pencher sur les données des hospitalisations aux soins intensifs.
Évolution des hospitalisations aux soins intensifs par tranche d’âge
Les hospitalisations aux soins intensifs permettent de mesurer la gravité des hospitalisations. La répartition par tranche d’âge des hospitalisations aux soins intensifs permet de savoir si certaines tranches d’âge sont plus affectées que d’autres.
Sans surprise, à ce jour, les moins de 40 ans comptent pour seulement 8.13% (352/4327) des hospitalisations aux soins intensifs. On voit donc bien que la probabilité de se retrouver aux soins intensifs est bien plus significative chez les personnes plus âgées que chez les jeunes.
Ce pourcentage peut sembler élevé mais dans les faits, il n’est pas représentatif du risque, qui devrait être bien plus faible, de forme longue de COVID chez les jeunes qu’il est censé caractériser. Car en réalité, la plupart des personnes en RPA (Résidence pour Personnes Âgées) ou en CHSLD, qui comptent pour 72.2% des décès au Québec, sont probablement décédées avant même d’avoir été admises aux soins intensifs.
En analysant l’évolution des hospitalisations aux soins intensifs par tranche d’âge et par vague, on se rend compte que d’une vague à l’autre, la répartition par tranche d’âge ne change pas. Cela confirme que le variant Alpha, qui rappellons-le n’a fait que très peu de victimes, n’a eu qu’un impact minime sur la mortalité des jeunes, si impact il y a réellement.
Dans les faits, les personnes entre 30 et 39 ans ont 1 chance sur 2800 d’atterrir aux soins intensifs après avoir attrapé la COVID. 1 sur 5400 pour les 20-29 ans, et 1 sur 16400 pour les 10-19 ans. Et encore, ces probabilités seraient encore plus minces si on exclut les conditions médicales préexistantes!
Il est compréhensible que les formes longues fassent peur. Mais à la vue de ces probabilités, rien ne justifie la vaccination d’une population entière pour cette raison.
Évolution de la surmortalité
La surmortalité est le meilleur indicateur permettant de connaitre l’impact de la COVID sur une population. L’Institut de la Statistique du Québec nous renseigne à ce sujet.
En regardant l’évolution au cours des 10 dernières années du nombre hebdomadaire de décès au Québec, on voit que le pic de décès de la première vague concorde bien avec le pic de surmortalité entre avril et juin 2020.
La surmortalité causée par la seconde vague est très légère, et même quasiment insignifiante si on soustrait l’augmentation naturelle de la mortalité qui s’exerce d’année en année. Et pour ce qui est de la 3e vague, on ne peut même pas parler de surmortalité. Encore une fois, cela confirme que le variant Alpha est inoffensif.
Dangerosité du Variant Delta
Et le variant Delta ? Il est dangereux, lui ?
Pour répondre à cette question, nous allons observer les courbes de décès de l’Inde et du Royaume-Uni, deux pays dont on entend souvent parler quand il s’agit du variant Delta.
Pour rappel, le variant Delta est apparu en Inde en Octobre 2020, mais il n’a commencé à se répandre en Inde qu’à partir du mois de mars 2021, et il est devenu le variant principal la semaine du 12 avril 2021. On voit que la courbe des décès augmente bien en Inde depuis ce temps-là.
Cependant, cette observation ne suffit pas pour attribuer ces décès au variant Delta, car il ne tient pas compte du timing de la vaccination. Plus loin dans cet article, quand je vous présenterai une analyse plus complète sur le variant Delta, je vous expliquerai pourquoi cette hausse de décès est plutôt attribuable à la vaccination.
Ce n’est que dans la semaine du 12 avril 2021 que le variant Delta est apparu au Royaume-Uni. Ce n’est que dans la semaine du 17 mai 2021 qu’il a supplanté le variant Alpha pour devenir le variant majoritaire. Or, depuis cette date, on observe que le nombre de décès au Royaume-Uni restent insignifiants quand on les compare aux chiffres de la seconde vague. Cela démontre donc que le variant Delta n’est pas dangereux non plus.
On remarquera que la seconde vague (il faudrait techniquement dire troisième vague) de décès au Royaume-Uni est plus élevée que la première vague. Encore une fois, je reviendrai plus tard dans ce texte, aussi pour attribuer ce constat à la vaccination.
La situation en France
Toutes ces constats faits au Québec peuvent être également faits en France quand on analyse les données gouvernementales et médiatiques à savoir :
- Un début de campagne de vaccination timide;
- Le palier de 10% de couverture vaccinale de la population atteinte seulement le 23 mars 2021;
- Un taux de positivité des tests diminuant d’une vague à l’autre;
- Des hospitalisations diminuant d’une vague à l’autre;
- Des décès diminuant d’une vague à l’autre;
- Une moyenne d’âge des décès très élevée;
- 89% des personnes admises aux soins intensifs présentant au moins une comorbidité;
- 95% des personnes décédées présentant au moins une comorbidité;
- Une surmortalité diminuant d’une vague à l’autre.
La situation ailleurs dans le monde
Pour le reste du monde, je vous convie aussi à faire vos propres observations sur le site Our World In Data. Ce site est une véritable mine d’information puisqu’il compile toutes les données importantes liées à la COVID du monde entier, telles que les cas confirmés, les hospitalisations, les admissions aux soins intensifs, les décès, le taux de reproduction, la répartition des variants et encore le taux de vaccination.
Si vous voulez comparer les courbes entre pays, je vous recommande de le faire en cochant la case « Relative to population ». On ne compare pas des pommes avec des oranges. Par exemple, quand on compare le pic de 7000 morts en Inde du 10 juin 2021 à celui de 1500 morts en France du 15 avril 2020, on peut vite tirer la délirante conclusion que le variant Delta est plus dangereux que le virus original. Mais quand on relativise ces chiffres par rapport à la population, on se rend compte que le pic français de la première vague était en réalité 4 fois plus élevé que le pic indien.
Je ne veux pas vous induire non plus dans l’erreur. Pour beaucoup de pays, je sais que vous observerez des courbes de décès avec une seconde et même troisième vague plus haute que la première vague. Si c’est le cas, je vous donne deux raisons possibles : l’immunité collective et l’effet de la vaccination.
L’immunité collective est un facteur qui peut engranger une seconde vague de décès plus important que la première. Je devrait plutôt dire la non-immunité collective. En effet, des mesures sanitaires extrêmement strictes, comme celles implantées dans de nombreux pays asiatiques, limitent la propagation du virus. Cela fait en sorte que les populations n’entrent que très peu en contact avec le virus et par le fait même, l’immunité collective prend plus de temps à gagner ces populations.
Par contraste, d’autres populations, comme certaines populations occidentales, implantent des mesures sanitaires moins strictes et bénéficient de « conspirationnistes » se réunissant pour se donner des câlins, contribuant ainsi à l’immunité collective naturelle.
Des restrictions sanitaires sévères implantées durant la première vague peut donc entrainer une seconde vague plus sévère que la première. La seconde vague agit théoriquement comme une première vraie vague.
Pour les intéressés, je traite d’ailleurs de l’immunité collective dans mon précédent article sur la COVID qui date du 26 juillet 2020, et dans lequel je tirais des conclusions qui sont loin d’être démodées. J’avais déjà le même discours à l’époque et mes prévisions proposées dans l’article auraient été vérifiées, si le vaccin ne s’était pas immissé dans le décor juste au moment où le virus allait disparaitre de lui-même.
Un second facteur qui pourrait entrainer une seconde ou troisième vague plus intense que la première est la vaccination. Cette annonce peut en faire sourciller plus d’un mais je consacre les deux prochains et derniers chapitres à ça, alors accrochez-vous!
Mais quoi qu’il en soit, si vous poussez plus loin vos recherches, vous remarquerez que quel que soit le pays, avec ou sans variant, les décès touchent toujours les plus vulnérables dans une proportion similaire à celles du Québec et de la France, c’est-à-dire avec une moyenne d’âge de plus de 80 ans et avec au moins 2 comorbidités dans plus de 90% des cas. Alors relax!
La COVID n’est pas aussi dangereuse qu’on veut nous le faire croire
Toutes les observations présentées ci-dessus concordent pour dire la même chose : la COVID et ses variants ne sont absolument pas aussi dangereux qu’il nous le laissent prétendre nos médias.
Évidement, la COVID a tué des personnes. Mais les chiffres traduisent le fait que la pandémie de COVID est extrêmement loin d’être comparable à celles de la Peste noire et de la Grippe espagnole. Et pour cette raison, rien ne justifie les mesures sanitaires exagérées qui nous sont imposées.
Après tout, où sont les morts annoncés suite à ces politiques conservatrices supposément irresponsables qui permettent des regroupements dans des stades pleins à craquer, sans distanciation et sans masque ? Et où sont les morts annoncés parmi les millions de conspirationnistes à travers le monde qui ne cessent de manifester sans masque et de s’embrasser depuis des mois ?
Que penser des gens qui acceptent de se faire vacciner, non par peur de mourir, mais parce qu’ils veulent retrouver leurs libertés. Et quid de ceux qui acceptent de le faire pour un hot dog ou un billet de loterie. Le message est tellement peu convaincant que la situation est devenue grotesque.
Tout cela démontre donc à quel point la COVID n’est pas aussi dangereuse qu’on veut nous le faire penser, et qu’il n’y a rien qui justifie que les variants soint encore plus dangereux que le virus original, et donc rien qui ne donne raison au fait d’injecter un vaccin à une population en santé. Au contraire, il y a beaucoup de raisons de croire que le vaccin amène plus d’effets indésirables que bénéfiques.
Les vaccins sont-ils réellement efficaces?
On n’arrête pas de se faire dire que la vaccination est efficace pour diminuer la contagion, les hospitalisations et les décès. On nous fait croire que la vaccination est le remède pour enrayer la pandémie. Si ces affirmations sont vraies, il faudrait pouvoir vérifier les faits suivants :
- La vaccination devrait effectivement engendrer la diminution des cas, des hospitalisations et des décès;
- La diminution des cas et décès ne doit pas être influencée par des facteurs externes aux vaccins;
- Les pays plus vaccinés devraient voir, proportionnellement à la populations vaccinée, moins de décès que les pays moins vaccinés;
- Les effets bénéfiques des vaccins devraient de loin surpasser leurs effets indésirables.
Si tous ces conditions sont vérifiées par les données statistiques officielles, alors oui, on pourra affirmer que les vaccins sont efficaces. Mais est-ce réellement le cas ? C’est ce que nous allons vérifier.
Le facteur de saisonnalité du virus
Dans la première partie, nous avons vu que les diminutions de cas, hospitalisations et décès ne peuvent pas être attribuées au succès de la vaccination, parce que dans l’hémisphère Nord, ces diminutions avaient débuté bien avant même qu’une minorité de « privilégiés » aient reçu leur première dose. Alors à quoi peut-elle être attribuée ?
J’en ai déjà glissé un mot dessus dès l’été 2020 dans un précédent article. La vraie raison des diminutions de cas, hospitalisations et décès est que la COVID est un virus saisonnier et donc plus virulent de l’automne au printemps que durant l’été. Les courbes de décès de quelques pays de l’hémisphère Nord suffisent à démontrer cette affirmation puisque, au même titre que pour la grippe influenza, la mortalité est plus marquée en hiver qu’en été. Fait étonnant en passant : l’influenza a été complètement rayé du monde depuis l’apparition de la covid.
Ceux qui vous diront que la COVID n’est pas saisonnière mentent. Le fait que les cas et décès diminuaient durant l’été 2020, malgré le fait qu’aucun vaccin n’existait encore à l’époque, prouve bien que la chaleur est un facteur déterminant pour la limiter les effets du virus.
De plus, il suffit de comparer les courbes de décès dans l’hémisphère Nord et celles de l’hémisphère Sud pour ne plus en douter. Quand c’est l’hiver dans le Nord, c’est l’été dans le Sud. C’est donc durant les mois de novembre, décembre et janvier que les pays de l’hémisphère Sud voient baisser drastiquement leurs décès.
Comparatif mortalité vs vaccination en Amérique du Sud
Les pays de l’Amérique du Sud sont d’excellents sujets à analyser puisqu’ils ont vacciné leurs populations à divers degrés durant leur été et avant que leur hiver ne s’installe.
En effet, le Chili et l’Uruguay ont vacciné très rapidement et ont atteint une couverture vaccinale de plus de 70%. Par opposition, le Pérou, la Bolivie et le Paraguay sont à la traine avec une couverture vaccinale de 25%.
À ce jour, tous les pays de l’Amérique du Sud sont en train de voir une vague de décès s’estomper. Nous allons donc analyser la situation des décès au 1er juin 2021. Cette date n’est pas choisie au hasard puisque c’est un moment où la vague est à son pic dans la plupart de ces pays. De plus, à cette date, le Pérou, la Bolivie et le Paraguay avaient une couverture vaccinale extrêmement faible (entre 5 et 12% de leur population), alors que l’Uruguay et le Chili avaient déjà vacciné plus de la moitié de leurs populations.
Pour savoir si la vaccination a réellement un effet positif sur les populations, il faudrait donc observer que les populations les plus vaccinés (Uruguay, Chili) ont vu moins de décès que les pays moins vaccinés (Pérou, Bolivie, Paraguay). De plus, il faudrait aussi s’assurer que les différences soient significatives.
Les statistiques démontrent que l’Uruguay, le champion sud-américain de la vaccination, a affiché pendant plusieurs semaines le plus haut de mortalité causée par la Covid parmi tous ses voisins. Malgré le fait d’avoir été considéré comme un exemple à suivre dans la bataille la COVID et d’avoir été l’un des meilleurs élèves en terme de vaccination, l’Uruguay a quand même perdu le contrôle. Et le pays se demandent encore pourquoi.
À l’inverse, la Bolivie a essuyé, aussi pendant plusieurs semaines, le taux de décès le plus faibles malgré le fait que le pays soit très peu vacciné. Cela pourrait donc laisser penser qu’au contraire, la vaccination pourrait faire augmenter la mortalité d’une population.
En fait, la couverture vaccinale et les décès observés au Chili (très vacciné) et au Paraguay (très peu vacciné) viennent contredire cette dernière théorie.
On peut donc conclure qu’il ne semble pas exister de corrélation entre la diminution des décès et l’augmentation de la couverture vaccinale, contrairement à ce qu’on veut nous laisser croire.
Il y a cependant un fait intéressant à noter : le bond spectaculairement soudain de mortalité en Uruguay entre le 2 mars et le 15 avril 2021 semble avoir une corrélation douteuse avec la vaccination, car c’est entre ces deux dates que l’accélération de la couverture vaccinale de l’Uruguay fut la plus rapide, passant de 0% à 30%.
Impact de la vaccination sur les décès
La corrélation entre l’augmentation du taux de vaccination et l’augmentation des décès en Uruguay est en effet douteuse.
On fait dont le même exercice avec le Royaume Uni, Israël et les Émirats Arabes Unis, trois pays qui ont rapidement vaccinés leurs populations. Début de la vaccination le 8 décembre 2020 au Royaume-Uni, le 19 décembre 2020 en Israël et le 23 décembre 2020 aux Émirats Arabes Unis.
Le constat est sans appel. Coup sur coup, les décès de ces 3 pays ont commencé à décupler aussitôt que leurs campagnes de vaccinations ont débuté.
Cette observation est d’autant plus perturbante quand on s’aperçoit qu’au moment où la vaccination a début dans ces pays, les courbes de décès semblaient être stabilisées ou même sur la pente descendante.
On peut également constater que la plus grande vague de décès liés à la COVID de ces pays est survenue après le début de la vaccination.
Au contraire, les pays où les populations ont une tendance à ne pas vouloir se faire imposer des mesures restrictives par leurs gouvernements et qui sont plus méfiantes vis-à-vis du vaccin, comme la France, l’Italie, l’Espagne ont subi une seconde moins vague de décès moins mortelle, malgré le début de la vaccination.
Avec ces hausses de mortalité suite à la vaccination au Royaume-Uni, en Israël, aux Émirats Arabes Unis et en Uruguay (4 pays champions de la vaccination rapide), il n’y a aucune raison d’affirmer que la vaccination est efficace pour diminuer rapidement les décès.
Mais vu que la vaccination n’entraine pas forcément une augmentation de la mortalité (comme par exemple à Singapour qui a aussi vacciné très rapidement), on peut tout au mieux penser que la vaccination n’a aucun impact bénéfique sur la mortalité d’une population.
Impact de la vaccination sur les cas
Évidemment, on peut faire un exercice similaire en regardant l’évolution des cas confirmés. Et je vous annonce dès à présent que les observations sont très troublantes.
Au Royaume Uni, en Israël et aux Émirats Arabes Unis, les cas ont aussi explosé coup sur coup dès leur début respectif de vaccination.
Pour éviter d’attribuer ces augmentations de cas à l’augmentation des dépistages, on vérifie les taux de positivité des tests. Et ces derniers le confirment puisqu’ils augmentent aussi au même moment.
Autre bizarrerie : Taiwan, qui pouvait se targuer d’être un exemple mondial pour contenir le virus en ayant eu 0 cas pendant des mois avant la vaccination grâce à des mesures sanitaires phénoménales (et malgré le non-confinement de sa population), a commencé à voir une augmentation exponentielle des cas (malgré des mesures de confinement maximal mises en place subséquemment).
Il n’y a pas à chercher plus loin que les données de la vaccination pour comprendre que cette augmentation drastique de cas à Taiwan a une corrélation directe avec la vaccination. Regardez bien où se situe le 11 mai 2021 sur les deux courbes!
Heureusement, le pic de cas n’a pas été atteint bien longtemps après le début de l’augmentation (seulement 2 semaines après). Une chose est certaine, on ne peut pas attribuer ce franc succès à la vaccination. Par contre, on peut certainement l’attribuer à la météo.
Rappelez-vous, quand je vous disais que le virus est saisonnier ? Eh oui, les taïwanais sont bien chanceux dans leur malchance d’avoir à vivre une chaleur humide et exécrable entre les mois de juin et septembre!
Autre exemple ? Je vais vous parler du Bhoutan. Peu de monde saurait situer ce pays car la plupart n’en ont probablement jamais entendu parler. Mais ce petit pays d’Asie a été salué pour sa campagne de vaccination qui a été une « grande success story », surpassant même Israël, les Émirats Arabes Unis et l’Uruguay dans les honneurs.
Figurez-vous qu’en l’espace de 12 jours, entre le 27 mars et le 8 avril 2021, le petit royaume himalayen a réussi l’exploit de distribuer 472139 doses à 93% de sa population âgée de 18 à 104 ans. Toutes les doses du vaccin Astrazeneca avaient été gracieusement offertes par l’Inde.
Je vous laisse deviner ce qui s’est passé ensuite ? Non je ne vous laisserai pas poiroter et je vais vous le dire : Booooouuuuuummmm! Une explosion de cas, suite à la vaccination, qui frappe massivement (selon les vrais mots de TVA qui aime faire peur) le Bhoutan et qui contraint le pays à interrompre ses exportations!
Une étude israélienne corrobore mes observations en mettant en évidence une corrélation entre la vaccination et l’augmentation de la mortalité pour certaines tranches d’âge, surtout dans les semaines qui suivent la vaccination. Les mêmes chercheurs publièrent en parallèle une autre analyse portant sur 22 pays européens qui confirme cette première étude (toutes tranches d’âge confondues), en plus de démontrer la corrélation entre la mortalité totale et la population vaccinée, avec une corrélation plus forte et durable chez les jeunes.
Effets indésirables du vaccin
L’efficacité d’un vaccin sur une épidémie ne s’évalue pas seulement sur le nombre de cas et de décès qu’il est censé faire diminuer. La pharmacovigilance est primordiale afin d’en évaluer ses effets secondaires. Car si les d’effets indésirables causés par un vaccin anéantissent les effets bénéfiques du vaccin, alors on ne peut pas dire qu’il est efficace.
Quand on commence à se renseigner un minimum (comme dans le groupe Facebook Recensement effets indésirables vaccin Covid), on se rend compte qu’une myriade des témoignages à glacer le sang émergent du fait que les hôpitaux se dirigent vers la saturation, non pas de personnes non-vaccinées souffrant de COVID, mais de personnes vaccinées. Et les symptômes sont des effets secondaires suite à la vaccination, tels que de la fatigue extrême, des douleurs thoraciques, des embolies pulmonaires, des péricardites, des myocardites, des hémorragies, des thromboses, des AVC, des arrêts cardiaques, des récidives de cancer, alors que la majorité des patients sont jeunes et en bonne santé. Et que dire des nombreuses flambées de cas et de mortalité dans les jours suivant les campagnes de vaccination des résidences pour personnes âgées…
En outre, quand on se rend compte à quel point les médecins mettent les hospitalisations sur le fait de coïncidences, on sait que les effets secondaires répertoriés du vaccin sont immoralement sous-comptabilisés.
En Europe, le système EudraVigilance collecte les déclarations d’effets indésirables suspectés d’être liés aux médicaments. Les chiffres des pharmacovigilance collectés pour les vaccins Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen sont effrayants.
Premier constat à ce jour : en France, il y a 68 000 effets secondaires déclarés sur 42 millions de vaccinés, soit une proportion de 0.16%. Aux Pays-Bas, 112 000 effets secondaires sont déclarés sur une population vaccinée de 11 millions, soit 1% (ou 1 cas sur 100).
En comptabilisant que 1/4 des cas d’effets secondaires sont des cas graves, on déduit que la probabilité d’être un cas grave après être s’être fait vacciné est de 1 sur 400 tout au plus! Pour comparatif, je rappelle que la probabilité qu’une personne de 20-29 ans se retrouve aux soins intensifs pour cause de COVID est de 1 sur 5400.
Contrairement à la France où les remontées d’informations de pharmacovigilance sur la sécurité des vaccins anti-covid sont principalement le fait de médecins et non de malades, aux les Pays-Bas la déclaration est principalement le fait des malades. Il n’est donc pas étonnant que la France déclare 6 fois moins d’effets secondaires que les Pays-Bas.
En supposant que, même aux Pays-Bas, seule une infime proportion de cas d’effet secondaire sont habituellement signalés, que l’on combine au fait que les médecins sous-évaluent l’importance des liens entre les vaccins et les effets secondaires, on vient de décupler les probabilités que le vaccin engendre bien plus d’inconvénients que ce que les autorités veulent nous laisser croire.
Pour approfondir vos connaissances sur le sujet de pharmacovigilance liée aux vaccins COVID, je vous réfère à cette excellente enquête.
Le lien suivant fait un recensement non exhaustif des décès et effets secondaires graves liés aux vaccins et est mis à jour régulièrement.
Les vaccins ne sont pas aussi efficaces qu’on veut nous le faire croire
À la question de savoir si la vaccination de masse diminue les risques d’infection, la réponse est clairement non. Au contraire, elle l’amplifie!
À la question de savoir si la vaccination de masse diminue le risque de décès, la réponse est clairement non. On peut être prudent en disant qu’elle ne semble pas avoir d’impact bénéfique sur la mortalité.
À la question de savoir si la vaccination de masse est efficace pour enrayer le virus, la réponse assurément non.
Il ne faut pas se cacher la tête dans le sable. La réalité est qu’une personne vaccinée n’est pas protégée. Elle peut toujours attraper le virus, en tomber malade, le transmettre, en mourir, en plus d’avoir des effets secondaires plus ou moins graves du vaccin menant parfois jusqu’à la mort.
Dans cette perspective, il n’y a donc aucun sens à se faire vacciner, et encore moins à déployer le passeport sanitaire.
Les vaccinés restent assurément des vecteurs et propagateurs du virus et je ne serais pas étonné, lors du retour du virus dans l’hémisphère Nord à l’automne 2021, si les pays vaccinés essuyaient plus de morts (par proportion de population) que les pays moins vaccinés.
Les non-vaccinés sont-ils réellement créateurs et vecteurs de variants?
Pour encourager les populations à se faire vacciner, on se fait marteler que seule la vaccination du plus grand nombre peut empêcher l’apparition de nouveaux variants et leur propagation, et que la prochaine vague s’attaquera principalement aux gens non-vaccinés. Si ces affirmations sont vraies, encore faudrait-il pouvoir prouver les faits suivants :
- La vaccination de masse devrait limiter la propagation des variants;
- Les pays les plus vaccinés devraient voir moins d’éclosions de variants que les pays moins vaccinés;
- Les pays les plus vaccinés devraient voir moins de propagation de variants que les pays moins vaccinés.
Si toutes ces conditions sont observées par les données statistiques officielles, alors on pourra affirmer, que les non-vaccinés sont réellement les créateurs et vecteurs de variants.
Mais est-ce réellement le cas ? Vérifions-le!
Évolution du variant Alpha
Le variant britannique, plus communément appelé Alpha, est un variant préoccupant. C’est celui qui a longtemps effrayé les populations . Il continue de le faire d’ailleurs, sans raison apparente, comme on a déjà pu le constater.
Le site CoVariants.org nous renseigne sur chaque variant de la COVID et son évolution. C’est à partir de ce site que sont extraites les données que je vous présente.
Les courbes ci-dessous représentent l’évolution de la distribution du variant Alpha par rapport aux cas confirmés dans tous les pays. On remarque qu’il a réellement pris son envol durant la semaine du 7 au 14 décembre 2020.
Ceux qui n’ont pas la mémoire courte se souviennent que le 8 décembre 2020 a marqué le début de la vaccination mondiale. D’abord en Angleterre, puis dans tous les pays occidentaux durant les jours suivants. Quelle une sacrée coïncidence!
Évolution du variant Beta
Le variant sud-africain, ultérieurement rebaptisé Beta pour atténuer la fureur des militants anti-racistes « wokes » facilement offensés, est aussi un variant préoccupant.
Voici ses courbes d’évolution de sa distribution par rapport aux cas confirmés par pays. On remarque qu’il n’a pas réellement pris d’expansion, se limitant en Afrique du Sud et quelques pays africains, à quelques exceptions près.
On remarque quand même que c’est durant la semaine du 21 au 28 décembre 2020 qu’il a commencé à se faufiler dans plusieurs pays.
Il est fortement plausible que la propagation lente et limitée du variant Sud-africain soit fortement liée au fait que l’Afrique du Sud (et l’Afrique généralement) tarde à vacciner sa population. En effet, au moment où j’écris ces lignes, seule 8.5% de la population a reçu une dose de vaccin.
On peut également deviner que les africains ne sont pas aussi mobiles que les européens, ce qui a probablement aussi contribué à limiter la propagation du variant.
Évolution du variant Gamma
Le variant Gamma est le variant préoccupant brésilien. Sur ses courbes d’évolution de la distribution par rapport aux cas confirmés, j’ai mis en évidence la semaine du 11 au 18 janvier 2021 comme repère clé.
Plusieurs constats intéressants peuvent être observés sur ces courbes et je vous convie à en vérifier les dates vous-même directement à la source.
La semaine terminant le 18 janvier 2021 marque le réel début de la propagation du variant au Brésil d’abord (la courbe bleu claire), puis dans le reste de l’Amérique du Sud. Comme par un pur hasard, le 18 janvier 2021 est aussi la date des premières vaccinations au Brésil.
L’Uruguay a commencé à voir ses premiers cas de variant Gamma durant la semaine du 22 février au 1er mars 2021 (la courbe verte claire). Et comme de fait, l’Uruguay a débuté à vacciner le 1er mars 2021. Je vous rappelle aussi que c’est à cette période à que les chiffres de cas et de mortalité liés à la COVID ont subi une explosion en Uruguay.
Le 6 avril 2021, Trinidad et Tobago injecté ses premiers vaccins. La semaine du 5 au 12 avril 2021 marque le début de la croissance fulgurante du variant Gamma dans le pays (la courbe orange).
Évolution du variant Delta
Voici les courbes d’évolution de la distribution des cas confirmés pour le variant indien, ou Delta.
Bien que la campagne de vaccination ait officiellement débuté le 16 janvier 2021 en Inde, elle est restée très timide pendant plusieurs semaines. Ce n’est que vers le 1er mars 2021 que l’Inde commence à accélérer sa vaccination. Et comme par de fait encore une fois, c’est à partir de ce moment-là que le variant Delta a pris de l’expansion en Inde.
Le premier pays rapidement touché par le variant Delta, en dehors de l’Inde est Singapour. Le variant Delta comptait pour la majorité des cas du pays à partir de la semaine du 26 avril 2021. Cela peut s’expliquer par le fait que Singapour est un grand hub international en Asie où transitent beaucoup de voyageurs, et qu’on peut y trouver une grande communauté indienne.
Pour les mêmes raisons probables, le Royaume-Uni devint le prochain pays à être dominé par le variant Delta. Ce dernier était recensé dans la majorité des cas du pays à partir de la semaine du 17 mai 2021.
Aussitôt que le variant Delta avait contaminé le Royaume-Uni, il n’a fallu que quelques jours pour qu’il infecte rapidement le monde entier, de la même manière que l’a fait le variant Alpha avant lui. Cela s’explique facilement par le fait que les britanniques voyagent beaucoup et prennent moins de précautions sanitaires que les gens de Singapour (et des autres pays asiatiques en général).
Voici la courbe des doses administrées de vaccin en Inde. On peut bien remarquer que la vaccination n’accélère réellement qu’à partir du 1er mars 2021.
L’accélération de la vaccination peut aussi être en partie expliquée par le fait qu’en mars 2021, plusieurs pays occidentaux ont suspendu le vaccin Astrazeneca à cause des effets secondaires graves qu’il peut engendrer. Afin d’éviter la destruction de ces stock d’Astrazeneca si chèrement payés par leurs contribuables, les gouvernements occidentaux décidèrent d’améliorer leur image en faisant de la charité et en les refilant aux pays pauvres. L’Inde fut le malheureux perdant de cette magouille puisque c’est là-bas que furent envoyés la plupart des fioles. C’est ainsi que, sous l’impulsion de leurs dons de vaccins Astrazeneca, les pays riches auraient réussi (dans leur volonté de ne pas le faire officiellement exprès) à propager rapidement le variant Delta.
Fait à noter, l’Inde est le plus grand fabricant et exportateur mondial de vaccins Covid, particulièrement grâce au vaccin COVISHIELD, le vaccin ultra-low-cost d’Astrazeneca qui a été testé exclusivement en Inde, interdits dans les pays riches et destiné aux pays pauvres. Eh oui, comme il y a des riches et des pauvres, il y a aussi des vaccins pour riches et des vaccins pour pauvre.
Selon les dires des vaccinés, une vie est une vie. Mais alors une vie d’un pauvre vaut moins que celle d’un pays riche, et la vie d’un indien semblerait valoir encore moins. Malheureusement, ça ne semble choquer personne.
Carte mondiale des essais vaccinaux
On me fera remarquer que les variants ne peuvent avoir engendrés par les vaccins puisque les variants existaient déjà avant décembre 2020, c’est-à-dire avant même que la vaccination de masse n’ait débuté. Je répondrais que c’est vrai …si les vaccins n’avaient pas subi des tests préalables sur les humains.
Car oui, figurez-vous que déjà le 13 janvier 2020, Le mRNA-1273 de Moderna, dont le taux d’efficacité a supposément atteint 94,5 % le 16 novembre 2020, était déjà conçu! C’était seulement deux jours après que la séquence génétique ait été rendue publique dans un acte de générosité scientifique et humanitaire qui a valu au Chinois Yong-Zhen Zhang d’être temporairement chassé de son laboratoire. Dans le Massachusetts, la conception du vaccin Moderna n’a pris qu’un week-end. C’était avant même que la Chine n’ait reconnu que la maladie pouvait se transmettre d’homme à homme, et plus d’une semaine avant le premier cas confirmé de coronavirus aux États-Unis. Lorsque le premier décès d’un Américain a été annoncé un mois plus tard, le vaccin avait déjà été fabriqué et expédié au National Institutes of Health pour le début de son essai clinique de phase 1. Il s’agissait du vaccin le plus rapidement développé de toute l’histoire des vaccins : 2 jours!
Les opportunistes compagnies pharmaceutiques, entrevoyant la pharamineuse manne qu’allait rapporter l’idée de vendre sans garantie légale des vaccins financés par nos impôts, se lancèrent à la hâte dans une machiavélique course à la mise en marché de leurs élixirs conçus à l’arrache. Mais la supercherie n’aurait pu passer inaperçu sans une approbation par des essais cliniques en bonne et due forme. Il leur a donc fallu tester sur des cobayes humains prêts à se sacrifier pour quelques dollars à travers le monde.
En date du 23 septembre 2020, selon l’Organisation mondiale de la santé, il existait au total plus de 300 vaccins candidats : une quarantaine d’entre eux avaient été testés sur l’homme, et seuls neuf vaccins ont atteint la 3e et dernière phase d’essais avant une éventuelle mise en marché. Voici la carte des essais de vaccins en phase 3 à cette date.
Datant du 24 novembre 2020, cet article confirme en grande partie l’article précédent et nous mentionne que deux autres vaccins ont été ajoutés en phase 3 de tests.
Remarquez bien les pays dans lesquels la compagnie Astrazaneca/Oxford a testé ses vaccins :
- Royaume-Uni
- Brésil
- Afrique du Sud
- Inde
- États-Unis
- Russie
- Japon
- Pérou
Cette publication sur The Lancet, datant du 8 décembre 2020, affirme qu’Astrazeneca a bien conduit des tests au Brésil, en Afrique du Sud et au Royaume-Uni. Le site d’Astrazeneca, en date du 2 octobre 2020, insiste aussi sur le fait d’avoir conduit des tests au Royaume-Uni, au Brésil, en Afrique du Sud, en Inde et au Japon.
Pour ceux qui voudraient décortiquer, voici la liste des essais cliniques d’Astrazeneca. Un conseil : ne validez pas seulement sur les pays mais évaluez aussi le nombres de cobaye humain pour chaque étude.
Et maintenant qu’on connait les pays dans lesquels Astrazeneca a mené ses essais cliniques, il ne reste qu’à recouper l’information avec la provenance des variants.
Provenance des variants
En date d’aujourd’hui, il existe tout au plus une vingtaine de clades, ou regroupements de variants. L’Organisation Mondiale de la Santé a classé ces variants, selon trois catégories : variant préoccupant, variant d’intérêt, et les autres.
Voici la liste des variants préoccupants et d’intérêt :
Type | Nom du variant | Pays d’origine | Détecté le | Désigné préoccupant le |
Préoccupant | Alpha | Royaume-Uni | 20 septembre 2020 | 18 décembre 2020 |
Préoccupant | Beta | Afrique du Sud | May 2020 | 14 janvier 2021 |
Préoccupant | Gamma | Brésil et Japon | Novembre 2020 | 15 janvier 2021 |
Préoccupant | Delta | Inde | Octobre 2020 | 6 mai 2021 |
D’intérêt | Epsilon | États-Unis | Juillet 2020 | – |
D’intérêt | Zeta | Brésil | Avril 2020 | – |
D’intérêt | Eta | Royaume-Uni | Décembre 2020 | – |
D’intérêt | Iota | États-Unis | Novembre 2020 | – |
D’intérêt | Kappa | Inde | Décembre 2020 | – |
D’intérêt | Lambda | Pérou | Aout 2020 | – |
Le fait le plus important à noter est que les pays dans lesquels les variants sont apparus avant le début de la vaccination planétaire de masse sont tous des pays dans lequels Astrazeneca a tenu des essais vaccinaux.
Variations génomiques de SARS-CoV-2
Cette représentation des variations génomiques du coronavirus SARS-CoV-2 est tirée de “Genomic epidemiology of novel coronavirus – Global subsampling”, dont on peut trouver une version interactive sur nextstrain/ncov. Elle montre les variations des séquences du génome du virus isolé à partir de patients individuels au fil du temps. Chaque couleur représente un clade différent, c’est à dire un regroupement de variations génomiques. Pour se repérer, j’ai tracé trois lignes correspondant à des dates clé de la vaccination.
On constate bien l’existence d’une causalité directe entre la vaccination et la propagation des variants. Il est important de noter que bien que ce graphique ne permette pas de nous assurer que tous les variants soient causés par les vaccins, il semble quand même probable que les vaccins puissent être des accélérateurs de création de nouveaux variants. Quant au fait d’affirmer que les vaccins contribuent à propager plus rapidement les variants, il n’y a plus de doute.
Les vaccins sont de véritables créateurs et propagateurs de variants
Ce chapitre présente plusieurs constats :
- Le variant Alpha a explosé au moment où la vaccination de masse a débuté au Royaume-Uni (le 8 décembre 2020);
- Le variant Beta ne s’est pas autant propagé que le Alpha car la campagne de vaccination en Afrique-du-Sud n’a jamais réellement démarré;
- La propagation du variant Gamma en l’Amérique Latine a démarré aussitôt que le Brésil a début à vacciner son peuple (le 18 janvier 2021);
- Le variant Delta a pris de l’ampleur en Inde (avant d’infecter le reste du monde) au moment où l’Inde a commencé à accélérer sa vaccination (mars 2021);
- Les vaccins semblent être des accélérateurs de création de nouveaux variants;
- La vaccination contribuent à propager plus rapidement les variants.
On ne peut affirmer avec certitude que les vaccins aient provoqué l’apparition des tous les variants, mais il est légitime de fortement suspecter qu’ils puissent être des accélérateurs de création de nouveaux variants. Et on peut dire avec certitude qu’il existe une causalité entre la vaccination et la propagation des variants. Et ce constat ne vient qu’appuyer le fait démontré dans la seconde partie de cet article : que la vaccination ne fait qu’amplifier les risques d’infection.
Ceux qui savent calculer savent aussi pertinemment qu’avec toutes ces informations, les chances que les vaccins ne soient pas les dispensateurs et vecteurs de variants sont plus minces que celles de gagner à la loterie.
Donc par extension, on peut déduire que sans les vaccins, il n’y aurait peut-être pas eu de variant, et la 2e vague de cas (qui n’aurait causé qu’un infime mortalité si la vaccination n’avait pas donné son impulsion), serait partie naturellement avec le SARS-CoV-2 original, laissant place à un monde revenu à la normale.
Je tiens à dire que l’analyse que je vous livre présentement se veut statistique. Je ne me pencherai pas sur les raisons scientifiques car bien qu’elles existent, ça me prendrait un autre article pour le faire.
Je peux quand même vous dire que plus tôt en 2021, Luc Montagnier, l’imminent virologue français et prix Nobel 2008 de médecine, avait aussi affirmé que les variants sont apparus à cause des vaccins. S’il l’a déclaré, c’est qu’il a des raisons scientifiques de le faire. Et mes observations statistiques ne viennent donc qu’apporter des preuves à sa théorie.
Comme tant d’autres scientifiques renommés qui autrefois furent révérés par les médias de masse, Luc Montagnier est maintenant conspué, marginalisé et censuré par les experts anonymes protecteurs du « consensus scientifique » établi par nos politiciens pour avoir une opinion contraire à la leur. Je vous laisse faire votre propres recherche à ce sujet.
Un Nobel n’est évidemment pas garant de vérité, mais en science, tout n’est pas blanc ou noir, contrairement à ce que veulent nous faire croire les médias. Et heureusement, la majorité n’a certainement pas toujours raison. Quand on voit à quel point la censure inonde les réseaux sociaux et comment le non-débat s’installe sur les plateaux de télévision, on peut se douter qu’il existe une vérité que plusieurs cherchent à cacher… nécessairement pour les intérêts de ceux qui ont les moyens de dicter leur propagande.
Résumé et projection
Chronologie et interprétation
Avant de terminer, je vous livre mon interprétation logique du déroulement de ces 18 mois de pandémie à travers le monde. Car au-delà de devoir faire du sens d’une manière « micro-sanitaire », la perspective doit aussi s’insérer harmonieusement dans un cadre « macro-sanitaire ».
Pour cela, je vous présente la répartition du bilan humain de la pandémie et je la commenterai de manière chronologique en plusieurs étapes, de A à H. Cette interprétation qualitative fera office de résumé de l’analyse quantitative en trois chapitres que je viens de vous exposer.
A : du 8 mars au 31 mai 2020
L’Europe et l’Amérique du Nord essuyaient un pic de décès et une première vague de surmortalité. La première vague a été mortelle mais la plupart des décédés sont les plus vulnérables (au Québec, plus de 97.4% avaient plus de 60 ans et 90.1% avaient 2 comorbidités et plus). Le virus a commencé à se répandre au mois de mars seulement. S’il avait commencé plus tôt à se répandre, sans nul doute il y aurait eu plus de décès dans les pays occidentaux.
Les populations asiatiques combattaient le virus par des mesures sanitaires très strictes. Ils n’ont eu aucun mal à le maîtriser.
B : du 1er juin au 30 septembre 2020
Le virus saisonnier perdait de sa force en Europe et en Amérique du Nord. C’était au tour des pays d’Amérique du Sud, qui vivaient l’hiver, d’affronter leur première vague.
C : du 1er octobre au 31 décembre 2020
Le virus saisonner revenait dans les pays de l’hémisphère Nord sous la forme d’une seconde vague. Certaines populations ont vu moins de décès que durant la première vague, signe qu’une certaine immunité collective était déjà installée après la première vague.
Les pays qui avaient confiné de manière stricte ont été moins strictes dans leurs mesures sanitaires. Le virus est revenu affecter les plus vulnérables.
Cette seconde vague ne pouvait être le fruit du variant Alpha, puisque ce dernier n’avait réellement commencé à se propager qu’en janvier 2021, sous l’impulsion de la vaccination.
D : du 1er au 31 janvier 2021
Alors que la seconde vague de cas du virus original commençait déjà à s’estomper, les populations en Europe et en Amérique du Nord débutaient leurs campagnes de vaccination à la mi-décembre. Le variant Alpha s’est propagé comme une trainée de poudre au fur et à mesure que la vaccination s’accélèrait, causant une recrudescence du virus.
Les pays qui ont vacciné le plus rapidement ont essuyé une 3e vague plus meurtrière que la première vague.
Les pays qui ont vacciné plus lentement ont vu leur 3e vague faire moins de victimes.
E : du 1er février au 15 mars 2021
Dans les pays occidentaux, la 3e vague de décès s’estompait progressivement à partir du mois de février jusqu’au début de l’été 2021. Ceci est dû au retour des chaleurs progressif dans certaines parties de l’Europe, puisque le virus est saisonnier.
Pendant ce temps, les occidentaux se félicitaient de leur campagne de vaccination. La réalité est que les morts commençaient déjà à diminuer en décembre 2020 dans la plupart des pays occidentaux après la seconde vague, et avant même que leur campagne de vaccination n’ait débuté. Les vaccins n’ont fait qu’engendrer une 3e vague.
F : du 16 mars au 9 mai 2021
En Inde, où la COVID était bien contenue jusque-là, la vaccination s’est accélérée. La vaccination entrainait les décès, en plus de faire exploser le variant Delta qui y sommeillait depuis le mois d’août 2020. Les doses de vaccins Astrazeneca rejetés par les pays occidentaux ne sont peut-être pas étrangers à la situation.
À cause du manque de vaccins, les pays de l’Amérique du Sud n’ont commencé à accélérer leurs vaccinations qu’à partir de la mi-mars 2021. Les décès augmentaient au même rythme que la vaccination.
La vaccination a causé aux pays de l’Amérique du Sud de vivre leur seconde vague plus tôt qu’en 2020, quand à l’époque, le virus y était arrivé naturellement à cause de sa nature saisonnière.
G : du 10 mai au 30 juin 2021
Plusieurs pays occidentaux et états américains démocrates continuaient d’appliquer des mesures liberticides. Mais d’autres pays et états américains républicains jouissaient d’une complète liberté, sans aucune restriction sanitaire. Et malgré tout, la mortalité continuait de diminuer en occident, grâce à une chaleur bien installée, qui a pris le pas sur les effets indésirables de la vaccination.
H : depuis le 1er juillet 2021
La plupart des pays asiatiques, qui avaient bien réussi à se protéger du virus par leurs mesures sanitaires strictes malgré l’inexistence du vaccin, n’ont pu cette fois-ci résister à l’augmentation des décès engendrés par les vaccins. Les asiatiques ont commencé à vivre leur « première » vague.
Projection
Au risque de me tromper, je vais y aller de ma petite prédiction, comme je l’ai fait dans mon précédent article sur la COVID qui date de juillet 2020.
Aujourd’hui plus que jamais, les gouvernements et médias continueront de faire peur à leurs populations en faisant croire que la 4e vague, qui arrivera à l’automne 2021 (à cause de la saisonnalité du virus) sous la forme du variant Delta (qui sera amplifiée par les vaccinés), fera son lot de morts (avec des chiffres de mortalité gonflés en occident) parmi les non-vaccinés (sans dire qu’un proportion importante de vaccinés en feront partie).
Grâce à la pass sanitaire, les vaccinés seront satisfaits de leurs privilèges et des mesures de ségrégations imposées aux non-vaccinés. Ils seront bonnement les vecteurs du virus mais continueront de blâmer les non-vaccinés pour sa propagation.
Et pendant ce temps, les nouveaux vaccins engendreront de nouveaux variants. Et la propagande financée par les lobbys pharmaceutiques continuera d’amener les inquiétudes chez les gens pour leur faire croire qu’ils devront se faire vacciner tant et aussi longtemps que tous les non-vaccinés ne se feront pas vacciner.
Lorsque leur seconde dose ne fera plus effet, les vaccinés seront invités à prendre un vaccin de rappel chaque année, puis tous les 6 mois, afin de renouveler leur semblant de “liberté” et accroitre leur dépendance au vaccin. Mais loin sont-ils de se douter qu’ils contribueront à maintenir artificiellement en vie un virus qu’ils essayent de combattre.
Ne connaissant pas les effets à long terme des vaccins, ce que je redoute le plus est que les hôpitaux débordent, non pas des personnes non-vaccinées infectées de la COVID, mais de patients au système immunitaire affaibli et souffrant d’effets secondaires graves provoqués par les vaccins.
Je ne souhaite évidemment pas avoir raison.
Proposition de solution
Cette projection peut paraître pessimiste car en réalité, elle l’est! Comment peut-on ne pas l’être quand on sait que nos gouvernances mondiales ne font preuve d’aucun sens logique, qu’ils se contredisent de manière permanente et qu’ils font tout le contraire de ce qui devrait être fait pour améliorer la situation sanitaire ?
Bien entendu, je ne suis pas un sans-cœur à préférer voir déborder les hôpitaux et mourir un grand pan de la population. Au contraire! Je viens de démontrer que le virus n’est pas aussi dangereux et que la vaccination de masse est bien plus néfaste qu’on veut nous le laisser entendre.
Je vous propose donc des solutions pour permettre à tous de combattre le virus et ainsi retrouver nos libertés :
- Réformer nos systèmes de santé qui sont pourris et corrompus jusqu’à l’os afin de réduire la congestion des hôpitaux.
- Traiter les malades tôt avec des médicaments qui existent mais qui ont été diabolisés, interdits d’ordonnance et retirés du marché depuis l’apparition de la COVID.
- Lever toutes les mesures restrictives comme l’ont fait les états américains et provinces canadiennes à tendance conservatrice, afin de développer l’immunisation collective de manière naturelle.
- Éliminer le régime propagandiste de terreur et de peur, et commencer à écouter la voix des milliers de médecins qui tiennent un discours réconfortant mais qui se font censurer ou « fact-checker » en permanence par les « experts » anonymes des grands médias financés par nos gouvernementaux.
- Abandonner la vaccination de masse qui ne fait qu’aider le virus à muter en de nouveaux variants qui ne font qu’accroitre les cas et décès d’un virus qui aurait déjà disparu si on ne lui avait pas donné la chance de muter.
Conclusion
Devant cette montagne d’évidences statistiques jouant en la défaveur de la vaccination, il y a des raisons d’être sceptique par rapport à l’illogisme de la désinformation gouvernementale et médiatique concernant la situation sanitaire entourant la COVID-19.
La réalité est que la COVID-19 et ses variants n’affectent que les plus vulnérables et diminuent en intensité à chaque vague de contamination. De plus, les vaccins ne sont pas aussi efficaces qu’on veut bien nous le faire croire mais il y a d’extraordinaires chances qu’ils soient, au contraire, les créateurs et propagateurs de variants. Il n’y a donc aucune raison de croire que la solution pour enrayer la pandémie est de vacciner la population mondiale.
Certains pourraient être portés à croire que toutes les observations que je vous présente dans cet article ne sont que des coïncidences. Personnellement, je ne vois que des évidences pour comprendre qu’une propagande est en train de se tramer devant nos yeux.
En parlant de propagande, j’en avais développé la théorie en long et en large dans mon article sur l’hystérie climatique. Ceux qui savent la détecter savent aussi pertinemment que toute cette affaire de pandémie n’est qu’une supercherie visant à asseoir une dictature écologique. Tous les pays, à toutes les époques ont vu la propagande exister. La nôtre ne fait pas exception.
Merci de m’avoir lu et n’hésitez pas à partager!
Poly
2 comments
Quel est votre avis vis à vis du masque ?
Ni le masque, ni le vaccin ne diminuent la transmission d’un virus qui, somme toute, est devenu inoffensif. Je crois que masque n’était qu’un prétexte pour pousser le vaccin.